Leadership
Notre cours de leadership aidera nos élèves à comprendre que: «On n’est leader pour soi même ou son propre bien, ni pour sa propre famille, mais pour le bien de la communauté toute entière" et que le mandat politique ne doit pas être considéré comme affairisme ou business. Il est honteux d’avoir une telle attitude quand on est leadership.
Par ces notions de leadership qui seraient apprises dans nos écoles et centres de formations, nous pensons que nous étudiants après ce cursus scolaire ne pourront pas facilement se déshonorer, une fois devenu leader en soumettant les autres dans la pauvreté ou l’exploitation. Ils seraient à même de résister à la corruption qui devient endémique depuis la crise des réfugiés et des guerres dans notre pays. De cette manière nous allons commencer à restaurer une société respectueuse des droits de l'homme.
Notre plus grande intention est de renforcer le système démocratique dans la région, en mettant en oeuvre un leadership responsable et le respect des droits de l'homme.
La définition que nous donnons à la démocratie est que c’est un «pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple».
Nos étudiants devront savoir que la gestion du patrimoine public diffère de la gestion d’un patrimoine privée qui, elle est dominée par le principe d’autonomie de volonté.
À l'heure actuelle, ne pouvons nous parler de la démocratie dans notre région comme dans notre pays et si elle existait, elle est donc en gestation. Ou encore piétiner par ceux qui détiennent le pouvoir.
Nombreuses sont les Associations des Droits de l'Homme et qui militent pour l’instauration de la paix, de la démocratie et du leadership responsable mais leur action a montré ses limites étant donné que, une fois le financement arriver à son terme, la campagne s’arrête avec lui avant que ces valeurs deviennent une culture pour notre société. En cela nous pensons que, mieux serait de construire ces valeurs dans nos propres institutions afin que nous puissions leur enseigner sans cesse, jusqu'à ce qu'ils puissent prendre racine et devenir véritablement les nôtres. La voie appropriée, à notre entendement c’est d’insérer ces notions dans le programme scolaire.
Le cours de droits de la personne humaine permettrait à tous de porter dans son âme que dans son mental, les valeurs qu'incarnent ces notions des Droits de l'Homme.
Le respect qui serait porté vis-à-vis de ces droits permettrait non seulement de créer un climat de paix entre ceux qui les étudieraient mais aussi envers les membres de différentes communautés. La justice sociale, le développement socio économique aussi seraient au rendez-vous. Comme on peut le comprendre, la mise en application et le respect de ces droits seraient donc une clé pour la démocratie et le développement intégral des habitants de Goma/Nord Kivu en particulier et ceux de la République Démocratique du Congo en général.
Notre philosophie d’insérer ces notions dans nos différents centres de formations et les différents degrés de notre école se justifie dans la nécessité de permettre à tous d’avoir ces notions dès le bas âge afin que celles-ci deviennent une culture pour la personne et donc pour toute la société. A noter que seuls les juristes ont la maîtrise de ces droits or pour en avoir il faut passer cinq ans à l’université. Alors que ces vingtaines d’articles de la déclaration Universelle de droits de l’homme de 1948 seraient appris pendant des semaines.
Notre cours de leadership aidera nos élèves à comprendre que: «On n’est leader pour soi même ou son propre bien, ni pour sa propre famille, mais pour le bien de la communauté toute entière" et que le mandat politique ne doit pas être considéré comme affairisme ou business. Il est honteux d’avoir une telle attitude quand on est leadership.
Par ces notions de leadership qui seraient apprises dans nos écoles et centres de formations, nous pensons que nous étudiants après ce cursus scolaire ne pourront pas facilement se déshonorer, une fois devenu leader en soumettant les autres dans la pauvreté ou l’exploitation. Ils seraient à même de résister à la corruption qui devient endémique depuis la crise des réfugiés et des guerres dans notre pays. De cette manière nous allons commencer à restaurer une société respectueuse des droits de l'homme.
Notre plus grande intention est de renforcer le système démocratique dans la région, en mettant en oeuvre un leadership responsable et le respect des droits de l'homme.
La définition que nous donnons à la démocratie est que c’est un «pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple».
Nos étudiants devront savoir que la gestion du patrimoine public diffère de la gestion d’un patrimoine privée qui, elle est dominée par le principe d’autonomie de volonté.
À l'heure actuelle, ne pouvons nous parler de la démocratie dans notre région comme dans notre pays et si elle existait, elle est donc en gestation. Ou encore piétiner par ceux qui détiennent le pouvoir.
Nombreuses sont les Associations des Droits de l'Homme et qui militent pour l’instauration de la paix, de la démocratie et du leadership responsable mais leur action a montré ses limites étant donné que, une fois le financement arriver à son terme, la campagne s’arrête avec lui avant que ces valeurs deviennent une culture pour notre société. En cela nous pensons que, mieux serait de construire ces valeurs dans nos propres institutions afin que nous puissions leur enseigner sans cesse, jusqu'à ce qu'ils puissent prendre racine et devenir véritablement les nôtres. La voie appropriée, à notre entendement c’est d’insérer ces notions dans le programme scolaire.
Le cours de droits de la personne humaine permettrait à tous de porter dans son âme que dans son mental, les valeurs qu'incarnent ces notions des Droits de l'Homme.
Le respect qui serait porté vis-à-vis de ces droits permettrait non seulement de créer un climat de paix entre ceux qui les étudieraient mais aussi envers les membres de différentes communautés. La justice sociale, le développement socio économique aussi seraient au rendez-vous. Comme on peut le comprendre, la mise en application et le respect de ces droits seraient donc une clé pour la démocratie et le développement intégral des habitants de Goma/Nord Kivu en particulier et ceux de la République Démocratique du Congo en général.
Notre philosophie d’insérer ces notions dans nos différents centres de formations et les différents degrés de notre école se justifie dans la nécessité de permettre à tous d’avoir ces notions dès le bas âge afin que celles-ci deviennent une culture pour la personne et donc pour toute la société. A noter que seuls les juristes ont la maîtrise de ces droits or pour en avoir il faut passer cinq ans à l’université. Alors que ces vingtaines d’articles de la déclaration Universelle de droits de l’homme de 1948 seraient appris pendant des semaines.